Il est venu sur le "FOFO" lorsqu'il était à la Réunion.
Nous avons fait l’École des Mousses, le B.E. "Lagarde", le Stage Cdo à St Elme et le Commando "Jaubert".
Comme plusieurs qui sont sur le forum...
Le bouquin ne devrait pas tarder à sortir.
Jacques Tillier
16 ans, sans diplôme, j’intègre l’école des mousses, puis les fusiliers commandos de la marine, et pour quelques mois la prison des Baumettes.
Quarante-neuf ans plus tard, je rends ma carte de presse.
Entre-temps j’ai été un an flic à la DST, et trente-huit ans journaliste, grand reporter, rédacteur en chef, P-DG pour le Groupe Hersant Média à La Réunion, ainsi qu’en Champagne-Ardenne et Picardie.
J’ai aimé ce métier passionnément.
J’ai parfois mis le pied en dehors des clous, loin des réseaux parisiens.
J’ai arpenté le Tchad, les palais officiels en Guinée et au Cameroun, rejoint Ushuaia pendant la guerre des Malouines, suivi de près la vie politique des îles des Mascareignes et celle de l’archipel des Comores.
J’ai croisé des chefs d’États, des « conseillers spéciaux », des hommes politiques de tous bords, des magistrats – souvent soumis au pouvoir –, des voyous petits et gros, dont deux d’entre eux m’ont laissé pour mort, le 10 septembre 1979.
Après toutes ces vies, une chose est sûre : je quitte ce métier debout, sans jamais avoir plié.
Journaliste connu pour avoir été grièvement blessé par Jacques Mesrine, Jacques Tillier a toujours revendiqué son indépendance.
Dans cette autobiographie, il nous livre quarante ans de journalisme, et les dessous d’une République française qu’il dépeint avec truculence.
Une plume libre
De Mesrine à Sarkozy, souvenirs d’un journaliste pas comme les autres
Une plume libre.
Nous avons fait l’École des Mousses, le B.E. "Lagarde", le Stage Cdo à St Elme et le Commando "Jaubert".
Comme plusieurs qui sont sur le forum...
Le bouquin ne devrait pas tarder à sortir.
Jacques Tillier
16 ans, sans diplôme, j’intègre l’école des mousses, puis les fusiliers commandos de la marine, et pour quelques mois la prison des Baumettes.
Quarante-neuf ans plus tard, je rends ma carte de presse.
Entre-temps j’ai été un an flic à la DST, et trente-huit ans journaliste, grand reporter, rédacteur en chef, P-DG pour le Groupe Hersant Média à La Réunion, ainsi qu’en Champagne-Ardenne et Picardie.
J’ai aimé ce métier passionnément.
J’ai parfois mis le pied en dehors des clous, loin des réseaux parisiens.
J’ai arpenté le Tchad, les palais officiels en Guinée et au Cameroun, rejoint Ushuaia pendant la guerre des Malouines, suivi de près la vie politique des îles des Mascareignes et celle de l’archipel des Comores.
J’ai croisé des chefs d’États, des « conseillers spéciaux », des hommes politiques de tous bords, des magistrats – souvent soumis au pouvoir –, des voyous petits et gros, dont deux d’entre eux m’ont laissé pour mort, le 10 septembre 1979.
Après toutes ces vies, une chose est sûre : je quitte ce métier debout, sans jamais avoir plié.
Journaliste connu pour avoir été grièvement blessé par Jacques Mesrine, Jacques Tillier a toujours revendiqué son indépendance.
Dans cette autobiographie, il nous livre quarante ans de journalisme, et les dessous d’une République française qu’il dépeint avec truculence.
Une plume libre
De Mesrine à Sarkozy, souvenirs d’un journaliste pas comme les autres
Une plume libre.
Dernière édition par Bébert le Lun 7 Jan 2013 - 14:40, édité 1 fois