En effet, au large de Cassis, une embarcation civile de soutien plongée annonçait sur VHF16 qu’un de ses plongeurs était victime d’un accident de plongée.
Répondant à l’appel diffusé, l’équipage de l’ECUME s’est détourné de sa navigation initiale pour se porter au plus près du lieu de l’accident, et mettre à disposition les deux médecins stagiaires qui participaient au raid au titre de leur formation militaire.
C’est alors que vers 10h30, l’interne des hôpitaux des armées Marianne et l’aspirant médecin Thibaut ont embarqué sur le navire support pour prendre en compte le plongeur.
Ce dernier, âgé d’une cinquantaine d’année, conscient, présentait des signes de détresse respiratoire.
L’action des deux médecins des armées a permis l’évacuation par voie de mer dans les meilleures conditions, le navire civil support faisant route vers le port le plus proche pour permettre l’évacuation de l’accidenté par un hélicoptère du SAMU.
La préfecture maritime de Méditerranée rappelle à cette occasion que la plongée sous-marine est une pratique à risque, qu’elle oblige à la réflexion de tous les acteurs de cette discipline (clubs, administration et corps médical) sans occulter la responsabilité individuelle du pratiquant. Pour pratiquer la plongée « bouteilles » en sécurité, il faut être en bonne condition physique et exercer cette activité avec un encadrement qualifié. Les dangers d’une plongée profonde pratiquée hors encadrement, sans entraînement suffisant ou par des individus dont l’âge constitue un facteur supplémentaire de risque sont réels. A 40 mètres, le moindre malaise peut être fatal. Il est donc important que chacun se pose les bonnes questions au moment de plonger.
Source : Marine Nationale
Répondant à l’appel diffusé, l’équipage de l’ECUME s’est détourné de sa navigation initiale pour se porter au plus près du lieu de l’accident, et mettre à disposition les deux médecins stagiaires qui participaient au raid au titre de leur formation militaire.
C’est alors que vers 10h30, l’interne des hôpitaux des armées Marianne et l’aspirant médecin Thibaut ont embarqué sur le navire support pour prendre en compte le plongeur.
Ce dernier, âgé d’une cinquantaine d’année, conscient, présentait des signes de détresse respiratoire.
L’action des deux médecins des armées a permis l’évacuation par voie de mer dans les meilleures conditions, le navire civil support faisant route vers le port le plus proche pour permettre l’évacuation de l’accidenté par un hélicoptère du SAMU.
La préfecture maritime de Méditerranée rappelle à cette occasion que la plongée sous-marine est une pratique à risque, qu’elle oblige à la réflexion de tous les acteurs de cette discipline (clubs, administration et corps médical) sans occulter la responsabilité individuelle du pratiquant. Pour pratiquer la plongée « bouteilles » en sécurité, il faut être en bonne condition physique et exercer cette activité avec un encadrement qualifié. Les dangers d’une plongée profonde pratiquée hors encadrement, sans entraînement suffisant ou par des individus dont l’âge constitue un facteur supplémentaire de risque sont réels. A 40 mètres, le moindre malaise peut être fatal. Il est donc important que chacun se pose les bonnes questions au moment de plonger.
Source : Marine Nationale
