Ouf ! Le mystère du fusil d’assaut égaré lors d’une manœuvre en novembre 2017 sur le camp de Coëtquidan (Guer), est résolu. L’arme a été retrouvée au début de cette année.
https://www.ouest-france.fr/bretagne/lorient-56100/morbihan-le-fusil-d-assaut-perdu-lors-d-un-entrainement-coetquidan-ete-retrouve-6325354
Un peu par hasard, en fait. « Le personnel de Coëtquidan l’a découverte lors du nettoyage et de l’élagage annuels des différentes zones de travail du site, explique le service de communication de la Force maritime des fusiliers marins et commandos à Lorient (Forfusco). La machine a tapé sur quelque chose, qui s’est avéré être l’arme. Ensuite, cela a suivi le circuit officiel vers la gendarmerie, pour retrouver à qui appartenait le Famas. L’enquête est close. »
Vaines recherches
A l’époque, « l’affaire » du Famas, égaré le 24 novembre 2017, était remontée jusqu’au ministère des Armées. C’est lors d’un stage d’entraînement d’élèves de l’école des fusiliers marins que l’arme, non chargée, avait été perdue par l’un des participants.
Une enquête judiciaire, puis une enquête interne de la Marine nationale avaient été ouvertes. La perte du Famas avait donné lieu à d’importantes recherches, en vain.
Le responsable de la perte du Famas a fait l’objet d’une sanction disciplinaire. « Il ne peut être renvoyé de la Marine sur ces éléments », poursuit-on à la Forfusco.
Cela aurait été le cas si, après enquête, il avait été reconnu coupable d’un acte volontaire de nuisance à l’institution.
https://www.ouest-france.fr/bretagne/lorient-56100/morbihan-le-fusil-d-assaut-perdu-lors-d-un-entrainement-coetquidan-ete-retrouve-6325354
Un peu par hasard, en fait. « Le personnel de Coëtquidan l’a découverte lors du nettoyage et de l’élagage annuels des différentes zones de travail du site, explique le service de communication de la Force maritime des fusiliers marins et commandos à Lorient (Forfusco). La machine a tapé sur quelque chose, qui s’est avéré être l’arme. Ensuite, cela a suivi le circuit officiel vers la gendarmerie, pour retrouver à qui appartenait le Famas. L’enquête est close. »
Vaines recherches
A l’époque, « l’affaire » du Famas, égaré le 24 novembre 2017, était remontée jusqu’au ministère des Armées. C’est lors d’un stage d’entraînement d’élèves de l’école des fusiliers marins que l’arme, non chargée, avait été perdue par l’un des participants.
Une enquête judiciaire, puis une enquête interne de la Marine nationale avaient été ouvertes. La perte du Famas avait donné lieu à d’importantes recherches, en vain.
Le responsable de la perte du Famas a fait l’objet d’une sanction disciplinaire. « Il ne peut être renvoyé de la Marine sur ces éléments », poursuit-on à la Forfusco.
Cela aurait été le cas si, après enquête, il avait été reconnu coupable d’un acte volontaire de nuisance à l’institution.